A la suite d'un choc à la tête lors d'un accident de voiture, la vie d'une femme bascule. On l'aime bien Lucrecia Martel, on aime sa Cienaga, ses lunettes aussi, moins sa Nina Santa mais la réalisatrice a prouvé qu'elle savait user de son sens visuel comme de ses éclats sensuels. Mais on l'aime moins dans cette errance vidissime, soignée formellement mais au récit totalement indigent. La présence en compétition officielle de son dernier long métrage, femme sans tête et film sans rien, laisse dubitatif.
États-Unis, 2024
De David Leitch
C'est l’histoire d’un cascadeur, et comme tous les cascadeurs, il se fait tirer dessus, ...