Expendables 3 - unité spéciale

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Dans EXPENDABLES 3 – UNITÉ SPÉCIALE, Barney, Christmas et le reste de l’équipe affrontent Conrad Stonebanks, qui fut autrefois le fondateur des Expendables avec Barney. Stonebanks devint par la suite un redoutable trafiquant d’armes, que Barney fut obligé d’abattre… Du moins, c’est ce qu’il croyait. Ayant échappé à la mort, Stonebanks a maintenant pour seul objectif d’éliminer l’équipe des Expendables. Mais Barney a d’autres plans... Il décide d’apporter du sang neuf à son unité spéciale et d’engager de nouveaux équipiers plus jeunes, plus vifs et plus calés en nouvelles technologies. Cette mission se révèle rapidement un choc des cultures et des générations, entre adeptes de la vieille école et experts high-tech. Les Expendables vont livrer leur bataille la plus explosive...

UNE PARTIE DE CAMPAGNE

Plus qu’une franchise, The Expendables est devenu un rendez-vous immanquable, une séance incontournable pour qui a grandi avec les films d’action américain dans les années 80, une sorte de réunion de famille auquel on prend plaisir de participer tous les deux ans, un rassemblement format pique-nique géant où l’on est heureux de retrouver de vieux frères, certains oncles et quelques parrains autour d’un méchoui et d’une bonne bière. Et vu la gueule du carton d’invitation de cette année, on était vraiment ravi d’aller à la fête. Sauf que, pour cette troisième réunion des anciens combattants, il semblerait que le soleil ait choisi de copiner avec les nuages et ne soit pointé qu’à quelques rares occasions. Pas que le week-end ai été totalement raté et placé sous le signe des giboulées mais bon, gageons que les Ray-Ban sont restées dans leur étuis, que les plaids ont trouvées place sur quelques épaules frileuses et que les merguez avaient comme un goût de trop cuit ! Si en plus on se retrouve assis à côté du grand père qui radote, de l’oncle bourré et d’une bande de cousins format p’tit cons avec qui on n’a pas vraiment envie de discuter, la réunion tourne vite au vinaigre. Du coup, on a comme l’impression de voir papi raconter une nouvelle fois ses exploits d’antan sans jamais y rajouter la petite étincelle qui lui donnait l’aspect fougueux ou comique des précédentes illustrations et ce n’est pas non plus la liste des nouveaux invités qui nous aident à nous sentir chez nous. Au contraire même. Car à part le petit espagnol Banderas qui surprend par sa gouaille et sa joie d’intégrer la famille, il faut se farcir le Passager 57 venu faire de la figuration, le vétéran Ford qui se demande encore ce qu’il est venu faire dans cette histoire et surtout la sous-exploitation de l’arme fatale Mad Mel qui n’a que trois scènes pour tenter de faire exister son personnage. Et comme le chef cuistot Patrick Hughes semble loin d’être étoilé et surtout ne pas avoir les épaules assez larges pour organiser l’ensemble de la réception (il faut dire aussi que l’équipe de scénaristes ne l’a pas aidé), on a tôt fait de se retrouver devant un produit un peu bas du front et surtout loin de pouvoir apaiser l’appétit et le palais des fins gourmet que nous sommes. Alors, avec ce week-end en demi teinte, si on doit remettre le couvert une nouvelle fois, évitons de précipiter la date et espérons que les organisateurs sauront trouver une occasion plus propice afin que la météo soit plus clémente. Parce qu’on y a quand même pris goût aux week-ends barbaque de tonton Sly !

par Christophe Chenallet

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