Les Meilleurs amis du monde

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Un week-end au vert avec vos meilleurs amis. Ceux qui vous aiment vraiment. Ceux en qui vous avez une confiance absolue. Ceux qui vous comprennent et vous disent toujours la vérité. Et surtout, ceux qui vous pourrissent sans savoir qu’ils ont appuyé sur la touche rappel de leur téléphone.

TOUTES LES VERITES SONT BONNES A DIRE

Comédie typiquement passe partout et bien propre sur elle dont se dote généralement le service public pour habiller ses prime time avant des soirées débat, Les Meilleurs amis du monde possède tous les ingrédients du théâtre de boulevard à l'âme candide et naïve par excellence. Car avec cette partie de "petits piques entre amis", Rambaldi, dont il s'agit du premier long-métrage, nous livre une histoire cousue de fil blanc, se trimballant dans deux décors où règne le surjeu volontaire, poussant la beaufitude et les nouveaux riches dans les clichés qu'on n'avait pas vus depuis bien longtemps. Et avec les habits exagérés de la Barbie desperate, du Simplet, du Fangio has been en mode super connard et de la Janis Joplin sur le retour, c'est tout un ensemble dramatico-comique qui prend vie devant nos yeux poliment amusés. Certes un peu trop compatissante, cette confrontation de l'outrancier et du pathétique doit beaucoup à l'interprétation et à l'alchimie de ses comédiens sans qui cette histoire ne tiendrait pas la route plus que ça. Vous l'aurez donc compris, ce gentil moment de détente imprimé sur celluloïd se doit d'être dégusté comme un simple apéricube printanier, un amuse gueule pas prétentieux mais pas faramineux non plus, une mise en bouche avant un plat de résistance plus consistant et plus complet. Rien de plus, rien de moins. Ce qui n'est déjà pas si mal.

par Christophe Chenallet

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