Fils du Mask (Le)

Fils du Mask (Le)
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Fils du Mask (Le)
Son of the Mask
États-Unis, 2005
De Lawrence Guterman
Scénario : Lance Khazei
Avec : Alan Cumming, Liam Falconer, Ryan Falconer, Bob Hoskins, Traylor Howard, Jamie Kennedy
Photo : Greg Gardiner
Musique : Randy Edelman
Durée : 1h37
Sortie : 23/03/2005
Note FilmDeCulte : *-----
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Alors qu’il galère un peu professionnellement, Tim Avery, se retrouve en possession du fameux Mask. Manque de pot, il copule avec sa douce alors que le masque est encore sien. Quelques mois plus tard naît Alvy, qui possède donc en son for intérieur les pouvoirs du Mask. La zizanie familiale est alors proche, d’autant plus que Loki, le créateur du Mask, est à sa recherche.

Le fils du Mask 2envoyé par jackclub

ET LOKI DIT…

Oser donner une suite à The Mask, dix ans après, est un pari que les producteurs ont osé tenir. Mais ce qu'ils n’ont sûrement pas compris, et ce malgré le laps de temps écoulé entre les deux opus, c’est qu’outre la magie des effets spéciaux, le premier volume des aventures du masque tenait aussi de la performance plastique de son acteur principal Jim Carrey. Celui-ci désormais absent de l'aventure, le masque se doit donc de trouver un nouveau porteur et personne n’a rien trouvé de mieux qu’un bébé. Soit. Après tout, cela drainera peut-être un nouveau public en plus de l’éventuel ancien. Mais le problème est que ce bébé est pour la plupart du temps en synthèse et donc dépourvu d’expressions autres que celles qui combleront les petites filles jouant encore à la dînette. À part cela? Et bien Le Fils du Mask correspond à la plupart des craintes que le projet pouvait annoncer: hystérie perpétuelle sonore et visuelle, hurlements continus, certains effets identiques au premier, manque d’inspiration et, heureusement peu nombreux mais malheureusement inévitables, les gags pipi-caca-prout. Et dire qu’au milieu de tout ce foutoir, on voit presque souffrir Alan Cumming qui, après la trilogie Spy Kids, se retrouve encore une fois sous-employé en Loki, fils d’Odin, interprété par un Bob Hoskins en dessous de tout. Évidemment, le film conviendra sûrement aux moins de huit ans, chez qui la morale gluante n’aura pas d’effet de dégoût. Mais pour un film qui, de par son thème, se prétend héritier du grand Tex Avery, il est dommage de voir que du génie de l’animation cartoonesque ne persiste que le nom du héros.

par Christophe Chenallet

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