Anacondas : a la poursuite de l'orchidée de sang

Anacondas : a la poursuite de l'orchidée de sang
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Anacondas : a la poursuite de l'orchidée de sang
Anacondas: The Hunt for the Blood Orchid
États-Unis, 2004
De Dwight Little
Scénario : John Claflin, Michael Miner, Edward Neumeier, Daniel Zelman
Avec : Nicholas Gonzalez, Matthew Marsden, Johnny Messner, Kadee Strickland, Karl Yune
Photo : Stephen F. Windon
Musique : Nerida Tyson-Chew
Durée : 1h37
Sortie : 10/11/2004
Note FilmDeCulte : *-----
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Docteurs cupides et baroudeurs intrépides partent dans la jungle de Bornéo pour y trouver la fameuse orchidée de sang. Pas de bol, cette dernière se trouve sur le territoire d’un terrible anaconda. Le dîner est servi.

CALL ME SNAKE !

A la surprise générale, en 1997, le presque nanar Anaconda, à l’esprit largement assumé, trouvait les faveurs du public, aidé par un casting, pourtant déjà has been pour l’époque. Sept ans plus tard, le serpent remet le couvert avec cette nouvelle fournée d’acteurs sortis de nulle part. Seulement, la sauce ne reprend à aucun moment, la faute à une histoire dénuée de sens, filmée par un Dwight Little probablement en vacances et un casting pas vraiment convaincant. Même les serpents, pourtant les produits les plus attractifs du film, n’obtiennent à aucun moment ce côté sympathique qui laissait le spectateur attendre la mort imminente des protagonistes dans la première aventure. Ici, ils ressemblent plus aux faire-valoir d’une histoire pourtant sans intérêt, venus simplement prendre leur cachet. La perfidie inhérente et le ton sournois qui les caractérisaient n’étant plus du tout traité. Alors, on assiste longuement et lourdement à des aventures sans originalité aucune, où le suspense est absent. Et le compteur cadavérique devient plus celui de la boîte de pop-corn, dont le contenu s’amenuise trop vite devant tant de stupidité. Seul l’œil à moitié endormi se figera quelques instants sur le joli minois de l’actrice principale et les muscles bandés du héros, histoire de ne pas faire sombrer le spectateur dans une torpeur certaine et une léthargie totale trop évidente. Dans les sorties embouteillées de chaque semaine, c’est à se demander pourquoi on laisse sa chance à de tels produits entièrement calibré direct-to-video.

par Christophe Chenallet

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