Festival de Gérardmer: Sharknado 3

Festival de Gérardmer: Sharknado 3
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Sharknado 3
États-Unis, 2015
De Anthony C. Ferrante
Durée : 1h23
Note FilmDeCulte : ***---
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Fin et April passent leurs vacances d’été en Floride. Pas de chance ! Cet état, habituellement ensoleillé, est détrempé par la pluie. Mais il y a pire : un sharknado s’annonce… C’est toute la côte Est, d’Orlando à Washington, qui cette fois-ci sert de garde-manger aux requins-volants ! Fin et April vont devoir, une fois de plus, sortir le grand jeu…

MOONSHARKER

Le requin tornade… Peut-on seulement faire plus con comme pitch ? Pas sûr ! Vu l’énorme succès rencontré par le premier volet de cette franchise, SYFY à décidé de continuer à nous abreuver de ses requins volants pris dans des tornades destructrices que devront combattre un casting de losers savamment dominé par un Ian Ziering toujours aussi flan et une Tara Reid toujours aussi Tara Reid. Sauf que maintenant que le phénomène est devenu mondial, chaque has-been veut désormais être de la partie. Dans ce 3e volet, c’est l’ancien Malcolm (Frankie Muniz) qui s’en vient faire un petit coucou entre deux AVC, Lou Ferrigno, Bruce des Dents de la mer (oui oui), l’incomparable Bruno Salomone venu se faire un petit week-end aux États-Unis aux frais de la princesse (bon soyez très attentifs, son rôle est vraiment minime) et évidemment le Philippe Candeloro des plages, le roi de la gaudriole, le chef de meute de l’auto-souillage, le seul et unique David Hasselhoff croyant atterrir dans le remake d’Armageddon.

Logiquement, avec ces quelques lignes, vous vous êtes déjà jeté sur votre site préféré de téléchargement pour acquérir le graal des vos prochaines soirées pizza/bières/potes ! Mais si jamais vous en voulez encore, sachez que toute cette bande de joyeux drilles a choisi de situer l’action principale de leur film au parc Universal d’Orlando et de finir en beauté dans l’espace ! Ah bah oui quitte à taper dans le nawak autant y aller jusqu’au bout ! Forcément, tout cela n’est que nanar en puissance mais l’ensemble est tellement abusé et sans filtre que ça en devient presque du génie. Vivement l’opus 4 pour découvrir jusqu’où l’esprit barré des scénaristes nous emmènera ! Vers l’infini et au-delà ?

par Christophe Chenallet

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