Kelly Reilly

Plus connue et reconnue chez nos amis d’outre-Manche que dans l’Hexagone, la comédienne Kelly Reilly est pourtant une véritable bête de scène qui enchaîne les projets de parts et d’autres, oscillant sans cesse entre l’art des planches et celui des plateaux de tournages. Heureusement pour nous, il semblerait que ce soit vers la deuxième option que son cœur semble enfin balancer. Son cœur!? Oui. Mais surtout sa poitrine qui vient poindre devant nos yeux ébahis, puisque cette semaine, le charme discret de l’Angleterre débarque sur nos écrans pour une revue de danse que nous ne sommes pas prêt d’oublier.

LA POUPÉE ROUSSE

Une silhouette parfaitement taillée, des cheveux d’un roux incendiaire encadrant son visage clair et ardent, une peau rosée typiquement britannique, un petit nez coquin, une bouche parfaitement dessinée et flanquée de deux fossettes qui ne se montrent que lorsqu’elle sourit. Avec ce genre de description, comment voulez-vous ne pas craquer. Rien que sur cette description physique n’importe qui pourrait se damner pour passer ne serait-ce qu’un instant en sa compagnie et contempler ce regard si langoureux et malicieux. Mais si en plus on lui rajoute le talent, alors l’attirance devient démesurée et le nombre d’admirateurs risque d’atteindre l’équivalent de celui des plus grandes stars. De surcroît, celle que Cédric Klapish nous a fait découvrir par l’intermédiaire de L’Auberge espagnole et des Poupées russes, ose revenir cette semaine sur le haut de l’affiche en affichant une forte et belle poitrine qui ne semble pas avoir son pareil. Pour commencer cette année 2006 sous les meilleurs auspices, pouvait-on rêver mieux? Espérons juste que ce rôle de danseuse de revue, dans ce qui fut le premier cabaret érotique de l’histoire anglaise, n’aura pas raison de sa carrière comme ce fut le cas d’Elisabeth Berkley avec le sulfureux Showgirls. Mais il y a fort à parier que le ton comique et léger de Madame Henderson présente sera moins préjudiciable que la satire sexy de Verhoeven. Et nous spectateurs, d’espérer le succès commercial du film, afin que la magnifique Kelly puisse réitérer l’exploit de s’afficher dans des tenues aussi légères qu'affriolantes pour mieux ravir l’éternel insatisfait qui sommeille en chacun de nous.